Parfois d’un poème il ne reste qu’un vers. On a oublié les autres mais celui-ci s’est accroché à la mémoire. Il surgit à l’improviste, s’installe dans les pensées. Coupé de son contexte il prend le sens qu’on lui attribue, devient l’écho de préoccupations, de tourments ou de joies intimes. « […]
Archives journalières : 25 septembre 2008
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