A Pompéi, je surveillais le ciel. Je n’étais pas dupe de sa limpidité. On m’avait expliqué que jadis, en quelques heures, des cendres éjectées par le Vésuve, ce traître, ce monstre, avaient recouvert la ville, étouffant ses habitants, figeant leurs ultimes efforts.
Archives journalières : 17 avril 2010
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