Enfouie dans les profondeurs d’une dense forêt de teks, Rosemala, la colline des roses, doit son nom à une Lady anglaise du temps de l’East India Company.
Namaste
Jour de fête à Namaste, on inaugure la Home for Girls. Située dans l’enceinte du siège de l’association, elle accueillera durant toute l’année scolaire16 adolescentes entre 13 et 18 ans dont les familles ne peuvent assurer les frais de scolarité Sindhu sera la House keeper.
Venu de la lointaine Amérique par l’intermédiaire d’une association, Zak, 20 ans, étudiant en sciences politiques, a passé deux mois à Namaste. Sa tâche : enseigner l’anglais aux enfants des « house family ».
Ça y est, entre averses et éclats de soleil, nous sommes parvenus à tourner toutes les scènes du court-métrage et même à nous mettre d’accord sur le titre. Ramesh, le nom de l’enfant, tout simplement. Il y a bien sûr eu quelques mésaventures : le mari d’Helen a refusé qu’elle […]
Dans l’enceinte de Namaste, l’édification de la « Home for Girls » progresse rapidement. Les échafaudages en bambou ont déjà été démontés et les ouvriers sont occupés à terminer les travaux intérieurs.
Cette année, nous tournons un court métrage avec les enfants de Namaste. Antonio, avec qui, l’année dernière, nous avions réalisé « Il bacio di Alice » et Michela nous accompagnent dans cette nouvelle aventure. Michela et les enfants L’histoire est simple : Chaque matin, Ramesh porte le lait de la […]
Nous arrivons à Pozhiyoor vers dix heures et demie. Nos amoureux sont tous les deux catholiques et la messe de mariage sera célébrée à 11 heures dans l’église du village. Il n’y aura pas de cérémonie civile, le document scellant l’union sera signé à la fin de l’office et transmis […]
Ils sont tous les deux des enfants de Namaste. John depuis le début. Quand Valeria a décidé de monter l’association et a créé la première family house il en est devenu l’un des occupants. Sa mère est morte quand il était petit. Son père s’est mis à boire, puis il […]
Ce matin, nous avons reçu des lettres des enfants de la « Casa delle mamme ». Chacun avait écrit quelques mots gentils, les plus petits en malayalam et les plus grands en anglais. D’un côté, j’étais contente de ces jolies marques d’affection, de l’autre, m’est venue la nostalgie de ce […]