Acte1
Ils savent. Isabelle le comprend immédiatement. Sur le front du père la veine palpite, protubérante, violacée, comme ces vers dégoutants qu’il emporte à la pêche et qu’il accroche à l’hameçon pour attraper des poissons visqueux que la mère prépare dans l’évier, maculant l’émail blanc de trainées rouges.
Isabelle déteste le poisson.
Ils savent. Sa mère a le reproche au fond des yeux et les lèvres tremblantes.
« Où t’étais ? rugit le père
– Chez Martine, pour faire un truc pour la maîtresse, je l’avais dit ce matin…
– Menteuse, s’écrie la mère d’une voix trop aigue, je viens de la voir, Martine, avec sa mère. Elles étaient chez le boucher. Alors, t’étais où ? Une heure qu’on t’attend !
– Alors, tu réponds ? T’étais où ? Encore en train de traîner ? »
Si Isabelle avait moins peur, elle raconterait la partie de cache-cache derrière l’église et même que personne n’a trouvé leur cachette à Christian et elle et puis que la grande Nicole n’est pas arrivée à l’attraper, pourtant elle court vite la grande Nicole.
Mais ça, elle ne peut pas le dire. Elle ne sait pas pourquoi mais le père et la mère ne veulent pas qu’elle reste jouer derrière l’église avec les autres quand l’école se termine. Elle doit rentrer à la maison tout de suite et la maison est triste, ennuyeuse. Le père travaille à l’atelier, jardine, va au bistrot et la mère fait le ménage. Du matin au soir. Toujours un chiffon à la main.
Quand Isabelle rentre de l’école, la mère lui donne son goûter, une tranche de pain et un carré de chocolat et « Va manger dehors pour pas faire de miettes ! » La mère ne supporte pas les miettes. Ni la poussière, ni les traces de terre sur le carrelage, ni les gouttes d’eau sur le rebord du lavabo.
« Alors, tu vas te décider à répondre ? T’étais encore en train de jouer, hein ! Et puis après la maîtresse dira que tu fous rien ! » hurle le père en avançant vers Isabelle qui s’est glissée entre le buffet et la porte.
« Arrête de crier, supplie la mère, les voisins vont t’entendre! »
La colère déferle sur le père. Pas un mauvais bougre, le père, mais sanguin, prompt à la violence. Et puis lui, des torgnoles, il en a reçu quand il était minot, ça lui a pas fait de mal, bien au contraire, il pense que ça l’a aidé à devenir un homme. La mère aussi elle en a reçu. Chez elle, c’était le martinet qui cinglait les cuisses. Alors, pour lui échapper, la mère était toujours la plus sage. Elle était la première de la classe, elle aidait à faire le ménage, elle dénonçait ses sœurs quand elles faisaient des bêtises, elle ne mentait jamais.
Pas comme Isabelle.
« T’as trois secondes pour dire la vérité !»
Le père avance, la main levée, la veine gonflée, le regard fou. Isabelle se recroqueville contre le mur. De cet homme lointain mais plutôt gentil, souvent absent du foyer immaculé, pour ne pas le salir peut-être, jaillit parfois un être sauvage, méchant, brutal qui semble incapable de juguler sa rage.
« Un ! »
Les larmes inondent les yeux d’Isabelle. Elle est coincée contre le mur comme elle coincée dans sa tête. Qu’elle dise ou non la vérité, il la frappera. Elle a désobéi, elle a menti. «Ça mérite une bonne fessée ! » comme dit la mère en pleurnichant, embusquée derrière le père qui s’empare brutalement du bras d’Isabelle.
« Deux ! » D’un brusque mouvement l’homme fait pivoter la fillette . Elle se tortille en vain pour échapper à la poigne.
« Trois ! » Une main remonte brutalement la jupe sur la culotte, l’autre claque sur le haut des cuisses, rebondit, s’acharne.
Le nez collé au mur, Isabelle sanglote, se mord les lèvres, suffoque. Dans sa tête une voix murmure « Je vous déteste, je vous déteste, vous n’êtes pas mes parents. Ma mère est une princesse, et mon père est un roi. Un jour des bohémiens viendront me chercher et m’emporteront chez eux et je ne reviendrai jamais, jamais. »
« Faut qu’on la visse, cette gamine, sinon elle deviendra une trainée, comme ta sœur ! » lance le père à la mère avant de franchir la porte.
Acte2
Isabelle n’en peut plus de ces interminables journées. Il est presque dix heures et demie et dans la chambre les enfants ne dorment pas. Elle les entend se disputer. Encore !
Elle a à peine fini de remplir le lave-vaisselle et maintenant il faut vider la machine à laver. Au bureau, aujourd’hui, ça été l’enfer. La chef odieuse, les collègues lâches, serviles. Évidemment c’est sur elle que le plus gros dossier est tombé. Des heures et des heures de boulot, urgent bien sûr.
Isabelle n’a pas pu refuser, elle ne peut rien refuser. Précaire donc corvéable. Son contrat se termine dans un mois. La chef a été très claire. « Pour le renouvellement nous jugerons en fonction de la qualité de votre travail et de votre disponibilité. »
Cet emploi, Isabelle en a besoin. Depuis qu’elle a quitté Thierry, les fins de mois sont épineuses et ce mois-ci, comme souvent, il n’a pas réglé la pension alimentaire.
Quand elle a payé le loyer, la cantine, la garderie du matin, la garderie du soir, la dame qui garde les enfants après quand Isabelle est bloquée au bureau, le centre aéré, l’assurance, le gaz, l’eau, l’électricité et l’essence de la voiture, il reste à peine de quoi acheter à manger.
« Je vais le dire à maman ! » crie Mathieu.
Les mains dans la machine à laver, Isabelle ne bronche pas, décidée à ne rien entendre. Elle défroisse un vêtement, l’accroche, recommence. Chaussettes dépareillées, slips délavés, pantalons râpés, pyjamas tachés, collants entortillés et merde, le sweat de Victor a rétréci !
« Maman ! Maman ! ».
Isabelle applique ses mains humides sur ses oreilles. Ne pas entendre, ne pas bouger, ne pas s’énerver, ne pas s’énerver, ne pas s’énerver… « Tu ne les vois pas de la journée, ils sont petits, ce n’est pas de leur faute si vous avez cette vie de merde, vie de merde, vie de merde… »
« Aaaaaaïe ! Mamaaaannn ! Victor il m’a frappééééé ! »
« C’est pas bientôt fini ce bordel !» hurle le voisin à travers le mur.
Les fragiles digues se rompent « Ta gueule ! » répond Isabelle en se ruant dans la chambre.
Dévastée par une incontrôlable fureur, les yeux exorbités, les membres tremblants, elle extirpe violemment Victor des couvertures sous lesquelles, sentant exploser l’ire maternelle, il s’est réfugié. Aveuglée par la rage, elle le plaque sur le lit, abat sa main sur le petit derrière rebondi, frappe, frappe, frappe.
« Je te déteste, crie l’enfant entre deux sanglots, je te détestes, tu n’es pas ma mère ! »
Et soudain se déploie, dense et froide, l’ ombre du désespoir.
43 commentaires sur “Tu n’es pas ma mère”
Brrr… On s’y croirait… Chais pas pourquoi, mais l’article 2 me fait penser que tu as une caméra chez moi :-\
Pour les Nains veux-je dire. Mais bon, qui a subi ce genre de choses à la fin d’une journée de merde et n’a jamais explosé au-delà de ce qu’il aurait par la suite trouvé raisonnable me jette la première pierre…
(Merde, on sonne à la porte… Merde, la DDASS… Qui m’a dénoncé parmi les honorables lecteurs de ce lieu ?)
@salut Swâmi
Tu sais, je suis opposée à toute forme de châtiment corporel, des cheveux tirés à la fessée en passant par les gifles.
Je suis favorable à une loi qui protège les enfants des dérapages des adultes.
MAIS une loi seule, sans accompagnement, ne servira à rien d’autre qu’à enfoncer encore plus des gens qui comme Isabelle, craquent.
Il faut aller beaucoup plus loin, il faut aider les parents, être à leur écoute, leur permettre d’avoir une vie digne.
Alors évidemment c’est énorme, ça va des structures d’accueil ouvertes (que sont devenues les maisons vertes de Dolto?), où les parents en difficulté peuvent se confier, parler entre eux, se sentir moins seuls- très important de ne pas se sentir seul- aux structures spécialisées offrant la possibilité de suivre des psychothérapies familiales (ou non), aux aménagements horaires dans le cadre du travail, à la sécurité de l’emploi…bref, un vrai problème de société que l’on va faire semblant de résoudre en édictant une loi, nécessaire mais largement insuffisante, pire, si elle n’est pas accompagnée, contre productive.
Je ne comprend pas où tu veux en venir. Pour moi une fessée est un acte isolé, pas forcement donné dans une pulsion violente. une claque sur les fesses, basta. Là, tu évoques plutôt un déchaînement de violence, un pétage de plomb qui pour moi, n’a rien à voir avec une fessée.
Mes enfants en ont pris. Entre deux ans et demi et allez 6 ans maxi. Une claque sur les fesses. Ils sont pas traumatisés. J’ai pété les plombs. Une fois. Et là c’était clairement de la violence. Mais pas sur eux. Sur leurs jouets.Ca ils s’en rappellent. Ca les a marqué (traumatisé pour ce que j’en sais, c’est pas le mot quand ils en parlent)
Rendre illégal la fessée, c’est completement idiot. Ya déjà des lois sur la violence contre les enfants. C’est pas la peine d’en rajouter, non 🙂
@bonsoir bellâm 😉
en fait je pense que ce que j’ai écrit à swâmi peut-être aussi une réponse pour toi.
Où je veux en venir?
A la difficulté de la chose!
Comment déterminer si une claque est petite, légère, anodine, ou non?
Seul l’enfant qui la reçoit peut en apprécier l’impact.
Et puis il y a l’intention: la tape pour montrer son autorité, prétendument “pédagogique”, pour “calmer” un enfant agité, la claque incontrôlée qui peut , comme je le décris, tourner au déchainement de violence.
Comment savoir?
Donc comment légiférer?
Et pourtant, à mon sens, il faut le faire.
Mais pas comme ça, froidement. Il faut au contraire aider les parents qui ne s’en sortent pas, qui n’en peuvent plus, qui craquent, réellement, et qui n’ont pas, comme tu l’as eu, le réflexe de reporter leur colère impuissante sur les jouets.
Car frapper un enfant, c’est démontrer sa propre impuissance.
Bien avant la gifle, il y a les mots, il y a l’écoute, la compréhension.
Mais souvent, les parents n’y parviennent pas. Ils sont trop stressés.
Une fois, quand mon fils aîné était petit, je lui ai donné une claque sur les fesses; Il s’est mis à pleurer et sa fesse est restée rouge un long moment. J’ai eu honte.
Ce bébé que j’aimais tant, pourquoi lui avais-je infligé cette douleur, dont je me rendais compte qu’elle était inutile, sans aucun effet sur son comportement?
Je n’ai jamais recommencé ni avec lui, ni avec ses frères et sœurs.
Je n’ai pas pour autant été une mère laxiste, j’ai puni, souvent, en envoyant dans la chambre, en privant et surtout, j’ai expliqué.
Je me suis aussi appliquée à ne jamais humilier verbalement, à bloquer la parole blessante qui parfois vient aux lèvres.
Pfffff, tu veux que je te dise, en ce qui me concerne, qu’est-ce que je suis contente d’en avoir fini avec l’éducation de mes enfants!
parce que c’est globalement superbe mais quand même chiant dans les détails 😉
best maman in the world.
@Cléo
merci mon ange 🙂
je comprends ce que tu veux dire mais je persiste je pense que légiférer dans ce sens ne fait que deresponsabiliser un peu plus les parents. Et je m’inscris en faux également sur l’inutilité d’une claque sur les fesses. j’allais chercher ma fille de deux ans et demi à la creche en vélo: 1/4 d’h. Elle a commencé à devenir ingérable (comme bcp d’enfants de cet âge là qui testent l’autorité)Ca a duré un mois. On mettait 3/4 d h pour rentrer. Rien n’y faisait. Un jour une rage froide m’a attrapée. j’ai rien dit. elle a fait son cirque. On est rentré à la maison. Tres froidement, je l’ai mise dans sa chambre, lui ai baissé son collant, et lui ai collé une claque sur les fesses assez monumentale; Une. Calmement sans crier.Ca était terminé.
Oui bien sur, du dialogue. Oui bien sur des explications avant toute chose. Mais par moment, un enfant, c’est non et point barre. Et ca peut aussi se manifester par une fessée ou claque sur les fesses. Sans que ça traumatise. Faut arreter aussi de sous estimer les enfants. Je suis mère célibataire et si la fessée avait été illégale, je ne sais pas comment j’aurais fait par moments !!
C’est un geste pour signifier, là “t’as franchi la ligne rouge”
Et ce que je remarque c’est qu’après avoir été une maman assez dure en bas âge (à savoir de deux ans à six ans), je n’ai absolument plus besoin de recourir à ce genre de méthode. Je punis autrement parce que je peux “atteindre”autrement.
Ton texte concerne de la violence. De l’acharnement. L’appliquer aux simples fessées, je ne peux pas être d’accord. C’est comme confondre le shit et la drogue dure. On peut pas tenir le même discours. Ca n’est pas réaliste. (désolée, pour la comparaison perilleuse, lol, c’est tout ce que j’avais sous la main ;))
@bellâm
sorry, pas le temps de débattre ce soir, ce sera pour demain
en attendant des liens que je trouve intéressants
http://jprosen.blog.lemonde.fr/2009/11/17/une-loi-anti-fessee-une-parole-a-tenir-348-2/
et celui-ci que j’adore
http://elryu.blogspot.com/2009/11/la-fessee-cest-dans-ta-tete.html
baci
franchement Celeste, je t’adore mais le billet de elryu est juste pas possible. Le shaker à amalgames… merci, sans moi ! ca m’a même passé l’envie de débattre lol!
@bellâm
tu n’as pas aimé el ryu.
au début le style déroute, après on aime (enfin moi)
non ce ne sont pas des amalgames, en fait tout est lié.
Quand la violence (pour moi à partir du moment ou il y a douleur physique infligée à autrui, il y a violence, plus ou moins forte, mais violence) envers les enfants est banalisée, alors celle envers les femmes peut l’être aussi.
Je sais, sur l’argument je suis carrément extrémiste!
Les parents sont, parfois, de toutes petites choses…
@salut belle Fajua 🙂
oh la la oui!
j’étais enfant il y a encore peu de temps et je peux vous dire qu’une claque même petite fait très mal
@coucou Maëlle
Merci de l’avoir écrit 🙂
C’est une de mes plus importantes batailles.
je me souviens d’un éleveur de chevaux qui disait: ” je ne les bats jamais, parce qu’ils craindraient toutes les mains humaines et n’accepteraient plus mes caresses.”
dès que quelqu’un tend sa main vers mon visage j’ai un mouvement de recule.
J’imagine que c’est le même phenomène.
@Maëlle
Belle phrase, celle de l’éleveur de chevaux.
parce que c’est vrai, il y a aussi la violence contre les animaux…
et c’est bien le même ressort: dompter, mater, imposer par la force son autorité
Alors après bien sûr, le mouvement de recul, la peur instinctive.
La tendresse, la douceur, c’est comme tout, si on n’a jamais connu, ou peu, ou pas assez, on ne sait pas ce que c’est. Alors on se méfie un peu de tout le monde.
On a du mal à accepter les démonstrations d’affection.
Elle paraissent incongrues.
Baci Maëlle, tout va bien au Mexique?
oui tout va bien. J’apprends beaucoup.
Bien sûr qu’une “bonne” fessée mate les enfants. Faut frapper suffisamment dur pour qu’ils aient bien peur, et pour qu’ils sachent qui est le plus fort.
Il faut apprendre à un enfant que la raison du plus fort est toujours la meilleure et que donc il aura sa revanche quand il sera devenu le plus fort. Et s’il le devient pas, normal, il -plus souvent ELLE- devra continuer à se faire battre. Ainsi, les garçons battus frappent leurs femmes, et les filles battues deviennent des femmes battues (pas tous ni toutes, heureusement).
Il existe il est vrai des fessées plus banales et moins destructrices: elles défoulent les parents et font savoir à l’enfant qu’il est allé trop loin. Il y a, pourtant, d’autres moyens de calmer ses nerfs, et de faire comprendre à un enfant qu’il a abusé de votre patience.
Je suis allée lire el ryu, je trouve pas du tout que ce soit un shaker à amalgames. Si on réfléchit bien, pourquoi on donne une fessée à un gosse qui vous gonfle, et jamais à aucun adulte, même s’il vous gonfle sévère, hé?
Quant aux allusions sexuelles… ben oui, la fessée c’est ça quand même, mêler un châtiment corporel à quelque chose qui pourrait évoquer la jouissance sexuelle. Ah, c’est sûr, tous les gamins fessés ne deviendront pas sado-maso.
Ya un peu de ça, quand même. Demandez aux anciens petits garçons leurs souvenirs de fessée par une jolie maîtresse. Et cherchez pourquoi une femme battue peut être incapable de se séparer de son tortionnaire?
“pourquoi on donne une fessée à un gosse qui vous gonfle, et jamais à aucun adulte, même s’il vous gonfle sévère”
J’ai été témoin, avec une autre maman, d’une fessée (une seule claque en fait) monumentale donnée par un père hors de lui à sa fille. Voyant à ma tête que je réprouvais l’acte, l’autre maman me sort : “mais c’est bon, il l’a pas tuée non plus !”. Certes, encore heureux, même…
À ce moment, le seul mot qui me soit venu à l’esprit, aux lèvres même, c’est “Connasse”. Et bien le moins qu’on puisse dire ce que l’insulte l’avait bien plus choquée que le coup porté à l’enfant auparavant…
@jardin
sans surprise nous sommes d’accord sur l’argument!
@merci Mahel de ton passage
je suis comme toi, chaque fois que j’ai assisté à une scène de ce genre j’ai réagi, ça n’a pas plu, ça ne plaît pas mais il faut le faire sinon, c’est cautionner!
J’ai gifflé ma fille une seule fois, pour des raisons dont les défenseurs des chatiments corporels vous dirons qu’elle l’avait bien “cherché”. Ce que j’ai lu dans son regard d’injustice, de déception, de tristesse et de mépris m’a renvoyé à mes propres injustice, déception, tristesse et mépris à l’égard de mon père violent envers lequel je ressens au mieux de la pitié. Je ne pourrais pas recommencer sans me sentir une grosse merde. Il y a des moyens de faire savoir sans violence qu’on approche ou franchit la “ligne”, mais ça demande de se servir de son cortex au lieu du cerveau reptilien.
C’est peut-être pour s’éviter ce choc en retour que d’aucuns préconisent la fessée, pour éviter au tortionnaire la douleur du regard de sa victime.
@Papy Joker
Merci beaucoup pour ce témoignage. C’est tout à fait le message que je veux transmettre.
“d’aucuns préconisent la fessée, pour éviter au tortionnaire la douleur du regard de sa victime.”
non mais sans déconner, vous avez le sens de la mesure ?!
@belâm
à tortionnaire qui sous-entend sadisme ou extorsion d’aveux, j’aurais du préférer bourreau qui inflige les peines corporelles prononcées par une juridiction répressive; mais je maintiens victime qui souffre de l’hostilité de quelqu’un.
ce qui nous donne “« d’aucuns préconisent la fessée, pour éviter au bourreau la douleur du regard de sa victime. »
C’est sûr que c’est beaucoup plus mesuré…
Je crois que je vais faire lire ce billet et les commentaires à mes enfants. Je pense qu’ils vont carrément exploser de rire
bien sûr qu’à partir du moment où il y a violence physique, il y a victime.
j’aime bien ce qu’a écrit jardin plus haut:
“Il existe il est vrai des fessées plus banales et moins destructrices: elles défoulent les parents et font savoir à l’enfant qu’il est allé trop loin. Il y a, pourtant, d’autres moyens de calmer ses nerfs, et de faire comprendre à un enfant qu’il a abusé de votre patience”
@belâm que je suis désolée de voir toute fâchée
Je ne me souviens pas quel âge ont tes enfants mais le billet est violent (volontairement) . Je pense qu’il peut choquer.
“Bourreau”
“Tortionnaire”
sont des mots qui me sont appliqués en l’occurence. Il me semble qu’on les emploie pour Hitler aussi…
C’est hyper violent…
Franchement, je préfère largement avoir donné quelques fessées à mes enfants que de m’entendre parler comme ça un jour. Pendant qu’on y est, des camps de redressement pour parents qui donnent des fessées ?
Ouais, sérieux, Céleste, cautionner des propos pareils, c’est destabilisant.
@belâm
mais non, ces mots ne sont pas appliqués à toi, c’est un discours beaucoup plus général.
en plus tu as le courage de raconter ton propre vécu sur ce fil de commentaire.
personne n’est infaillible, en tant que parent on fait ce qu’on peut, ce n’est pas facile.
loin de moi l’idée de juger qui que ce soit
J’expose mon point de vue, j’espère convaincre, c’est tout 😉
Hello
@celeste, oui j’imagine que c’était ce que tu souhaitais. Mais l’effet est inverse. J’ai eu une discussion avec mes enfants à ce sujet. J’ai expliqué que dans certains pays, c’était illégal et que certaines personnes voulaient une loi en France car ils estimaient que c’était très violent. Et j’ai précisé que pour une partie, ça s’assimilait à des rapports “tortionnaire/ victimes”.
Parce que ce sont des mots qui ont été employés, discours général ou pas. Les mots sont là.
La réaction a été édifiante, surtout de la part de ma fille 10 ans, qui n’a pas la langue dans sa poche “C’est ridicule!”
C’est le mot.
C’était pas mal d’avoir une discussion à ce sujet car leur réaction a été unanyme. Ce qui est le plus traumatisant pour eux, ce sont les mots et surtout quand ils sont criés. Ils m’ont clairement fait comprendre qu’ une fessée (et je précise, pas un déluge de tapes démentielles sur les fesses, ca n’a jamais été le cas) était moins flippante que les hurlements de leur père qui n’en donne pas par ex ou quelques phrases assassines dites bien calmement.
Et certaines phrases dans les commentaires, sous couvert de non violence, l’étaient carrément.
A votre place, je me poserai des questions. A vouloir servir une cause juste (parce qu’effectivement, il vaut mieux s’abstenir de lever la main sur ses enfants) , on finit par devenir plus agressif que celui qui est en cause.
Si le truc de certains, c’est de se donner bonne conscience en se disant “oh mon dieu, je ne recommencerai jamais, je me sentirai comme une grosse merde” et d’utiliser des mots forts, pour pas dire déplacés, pour faire passer le message à la place, j’aimerai pas être leur gosse. Sincèrement.
Bizarrement, ca me fait penser à “Festen” (pas pour l’inceste, hein ?) mais pour le climat très malsain de calme apparent et d’hyper violence souterraine. Et ça, ça me dérange quarante fois plus qu’une maman ou un papa qui donne une fessée à son gosse.
Les commentaires ici étaient violents. (Je ne parle même pas du texte d’Elryu)C’est quand même assez paradoxal, non ? Vous pensez quoi ? Qu’en collant les gens sur un banc des accusés et d’utiliser des mots délirants par rapport au sujet va convaincre ? Si nous, les parents qui donnons des fessés de temps en temps (et encore une fois, pas un déluge de violence, ça c’est mal), vous vous êtes regardés ?
Vous essayez d’obtenir par “la force” une attitude ? Ca serait pas flanquer une fessée morale, ça ? Drôle de méthode pour des non violents….
Désolée si je suis legerement agressive mais je trouve que vous êtes allés beaucoup trop loin sur ce coup là
J’ai donné des tapes à mon fils, quand “il le fallait”, pas à chaque fois, mais c’est arrivé, quand l’argument ultime manquait, quand c’était pas le moment…
Et j’ai vu s’installer le réflexe de baisser la tête, de se recroqueviller dès qu’il se sent pris en faute, même si les tapes sont plus qu’exceptionnelles à présent, je n’arrive même pas à me souvenir de la dernière… Si tu savais Céleste comme je regrette!
bonsoir Fanny 🙂
ne regrette pas Fanny, ce qui compte c’est d’y avoir réfléchi, d’avoir su modifier…c’est très difficile d’être parent, on a peur de se tromper, de ne pas être à la hauteur…
l’essentiel, c’est d’aimer et de pouvoir se remettre en question, de s’interroger, d’expliquer à l’enfant le pourquoi…
baci
http://www.alicemiller.com
les ravages de la pédagogie noire…
Non, ce n’est pas normal de frapper un enfant.
Il n’y a aucune excuse a cela.
Je me suis trompée dans l’adresse du site, c’est http://www.alice-miller.com
http://www.bebenaturel.info/article.php3?id_article=36
changeons les choses…
merci pour les liens , Clo
De rien 😉
En ayant lu le commentaire ci-dessus; moi j’ai été souvent repris par ma mere au martinet,mais je ne me suis jamais rebelé ,ni employé un tel language! D’aillieurs connaissant ma belle mere qui était grande et forte en plus ,je n’aurais jamais osé! Pour commençer,c’est donc ma belle mere qui choisisait et me faisait metre les vetements qu’elle avait choisis pour moi,c’est à dire dans les années 1970,et en plus c’était la mode ,des culottes courtes tenues par de larges bretelles à boutonner à pattes de cuir,blouses en nylon assez longues et de préfèrence boutonées au dos ,et le beret ,pour cacher ma tete qui était pratiquement rasée à la tondeuse électrique tous les mois! et à la moindre incartade ,elle décrochait le Martinet qui était accroché à la poignée du buffet de cuisine !et les coups pleuvait sur mon posterieur nu de préférence et au minimum 10 coups bien appuyés,mais si l’affaire était grave à ses yeux la c’était pas moins de 20 coups sur toujours mon postérieur nu,et souvent au bout de 20 coups toujours bien donnés elle était en sueur ,car elle aussi portait comme moi de longues blouses en nylon,et boutonnées dos également! En fait elle n’était pas ma mere d’origine ,et mon pere c’était remarié avec elle! et comme elle aussi avait une fille 2 ans de plus que moi à cette époque,à sa fille elle administrait de sévéres fessées au martinet! Quant à ses tenues à ma demi-soeur elle aussi devait porter des jupes plissées en tergal bleues avec de larges bretelles,un chemisier blanc,la blouse en nylon et le beret comme moi,sauf à elle on ne lui lui rasait pas la tete! Elle en profitait dés que mon pere était parti travailler pour nous discipliner à sa façon! Daillieurs dans ce domaine moi et ma demi soeur des fois ndés qu’on sortaait de l’école ou du lyçée,notre chere mere nous attendait ,et toujours dans ses blouses, le Martinet à la main et n’hésitait pas en pleine rue de nous fesser en soulevant nos blouses puis de nouveau nous fouetter devant tout le monde!Non seulement on avait mal tous les deux ,mais en plus on se payait la honte!Car d’autres meres en passant rigeolaient et meme disaient ,bravo madame vous avez bien raison Il n’y a que comme ça qu’ils comprennent ! et meme heureusement que nous avons des martinets pour les redresser!,Voila ce que nous avons connus donc moi et ma demi-soeur jusqu’à nos 17 ans!
Nous les filles ,nous n’étions pas en reste non plus,car durant toutes ces années nous aussi les filles ;nous aussi nous étions bien encadrées par nos meres !à pour commençer notre tenue pour aller à l’école et meme pour tous les jours aussi! pour l’école et meme le lyçée dans ma région la plupart des filles memes adolescentes on portait des jupes plissées en tergal bleu et avec de larges bretelles boutonées ,droites devant et croisées au dos,Puis nos blouses en nylon assez longues bleue marine elles aussi et le beret ,bien enfonçé sur nos tetes, sans compter qu’on était reprises pour un oui ou un non tout de suite au Martinet sur nos fesses par nos meres ! D’aillieurs le martinet était souvent renouvelé et avait sa place dans la cuisine à coté du frigo!,Histoire de nous rapeller que si on n’écoutait pas à nos meres Il était enlevé de son clou et appliqué à toute volée sur nos fesses voir pour des choses plus graves culs nus ,car nos meres avaient pris l’habitude de rapidement relever nos blouses,jupes et baisser nos slips pour nous fesser avec leurs martinets,aprés qui on avait du mal à s’assoir sur une chaise!meme lorsqu’on sortait et allaient quelque part ;nos meres prenaient leurs martinets dans leurs sacs ,si par hasard si l’on faisait un pas de travers ,et donc meme aillieurs elles continuaient à nous fesser avec et devant tout le monde! C’est ainsi quej’ai été élevée par ma mere jusqu’à mes 17 ans !
Je ne peux qu’etre d’accord avec le,témoignage de camen glosser car j’ai connu la meme situation !C’était bien comme ça que ça se passait ,et moi aussi j’ai tellement été féssé au Martinet par ma mere que j’avais en permanance mon derriere en feu ,tout rouge ,de plus comme il y avait toute ma famille qui habitait dans le meme quartier, ils repassaient à ma mere leurs vetements qui étaient devenus trop petits donc c’est nous qui l’héritions!Mais comme la plupart étaient des garçons ,je devais mettre leurs anciens vetements,surtout donc pour garçons ,surtout des anciennes culottes courtes bien remontées grace aus bretelles toujours bien tendues ,grace à ma mere, leurs blouses en nylon,ainsi que leurs berets ,qui étaient bien entassés jusqu’à mes yeux! En plus tous les matins lorsque ma mere m’habillait meme à l’age de 16 ans ,elle prenait bien soin de bien tendre mes bretelles sous ma blouse ,et de ce fait J’avais beaucop de difficulté à m’abaisser !,Je me suis plaint à mere de cela ,ce qui l’a énervée et qui ma vallu plusieurs coups de martinet bien appuyés sur mes fesses!Moi aussi je peux attester que j’ai aussi bien gouté au Martinet !meme lorsqu’on sortait j’étais toujours habillé pareil ,meme mes pyjamams qui étaient des anciens pyjamas de garçons étaient égalament munis de bretelles et croisées devant en plus!! Bref mes bretelles ne me quittaient jamais!De plus ma mere aimait aussi bien me tondre la tete car jusqu’à mes 18 ans j’vais mes cheveux coupés à la brosse, bien rasés quoi!Il a fallu que je connaisse une fille vers mes 21 ans pour etre débarassée de tout ce fourbi sur moi!
Cela me reviens aussi à l’esprit que j’avais une amie de mon ages agée de 15 ans comme moi et une fois je suis allée chez elle pour lui demander qu’on aille toutes les deux faire le tour du jardin public et dés que je suis arrivée j’ai remarquée qu’elle avait encore les larmes aux yeux!? et qu’elle ne parlait pas ? Parcontre sa mere elle ,elle était en plein rangement et elle avait mise 2 blouses en nylon l’une sur l’autre ,celle d’en desous était dans un nylon bleue roi et boutonée et assez longue ,c’est pourquoi on la voyait et la deuxieme ,qu’elle avait mise pardessus elle était en nylon également mais non boutonée et celle la elle était blanche ,et dés que je lui ai demandée donc à mon amie de venir faire un tour avec moi,sa mere m’a coupée la parole séchement en disant ” pas question elle reste la et si elle bouge elle aura encore du martonet sur ses fesses !En effet !le Martinet était encore sur la table de la salle à manger et voila porquoi mon amie pleurait encore! elle avait due en reçevoir et vu l’état de sa mere assez sechement! <ensuite sa mere m'a parlée et dite par contre vous pouvez réviser et vos maths et votre Français ca vous pouvez le faire ! au lieu de vous pavaner dehors , mon amie a regardée sa mere et a tiré un peu sur la sinne de blouse en nylon blouse en nylon car elle était froissée et elle m'a regardée sans rien dire!J'ai pensé ou la la,elle est vraiment remontée! De ce fait je suis quand meme restée et commençer à réviser le mathts comme sa mere me l'avait sugérée! puis d'un seul coup de nouveau sa mere me dit et ta mere te laisse sortir et en plus sans ta Blouse et bien!! Mais vu comment elle était sa mere j'ai préfèrer ne pas répondre et comme j'habitais pas loin je suis retournée chez moi et mise ma blouse en nylon et je suis revenue chez mon amie ,et la de ce fait ,que j'avais remise ma blouse ,sa mere me dit enfin tu ressembles quand meme mieux avec ta blouse !et donc nous avons réviser nos maths et français et au bout de 2 h je me suis levée et dit aurevoir à mon amie mon amie m'a racompagnée jusqu'à la porte d'entrée et la j'ai vue qu'elle avait les marques des lanieres en cuir du Martine sur ses jambes bref j'ai fait comme si je n'avais rien vue et je suis retournée chez moi et en arrivant j'ai racontée ce que j'avais vue ,et ma mere me dit Alors tu vois ,quand tu te plains lorsque je te fesse avec le Martinet jusqu'à présent tu n'a jamais eu de marques , donc tu vois moi je t'en donne mais pas à toute volée :
! la encore je me suis tu car ma mere avait raison! Par cotre Il me semble que lorsque ma mere employait le Martinet sur les fesses de mes freres elle devait taper plus fort car mes freres en le reçevant dansaient en disant arrete maman ça fait mal ! bref ce qui n'a pas empecher ma mere de continuer de leur en donner avec la meme force ! et eux mes freres en plus de leurs blouse en nylo qu'ils portaient en plus ma mere leur faisait mettre de larges bretelles pour tenit leurs culottes courtes ,ce que moi je ne metais pas ! enfin c'était l'époque somme ça !
Cela me rapelle meme moi à 17 ans j’ai encore été fessée par ma mere avec le Martinet car je n’avais pas tenue parole ! En effet quelle histoire que ça a fait avec ma mere ,car à l’époque je vivais toujours chez mes parents et croyait que tout m’était du! et j’ai appris ce jour la que les choses ne se passent pas aussi façilement comme ça!Lorsqu’on donne sa parole on la tient! il faut dire qu’àcette époque je ne me cassait pas fort la nenette! et enfin ma mere m’a permise d’aller voir unspectacle à la salle des fetes sous condition que je n’entre pas trop tard ,car le lendemain c’était le boulot à l’usine,et qu’ilfallait se lever tot! Ce jour la dans l’aprés midi j’ai aidée ma mere avec le ménage et le repassage et vers les 18h00 deja j’étais Impatiente de m’en aller au spectacle et j’ai vite fait d’enlever ma blouse en nylon et de la jeter sur une chaise pour me maquiller un peu ,puis cela étant fait je suis partie ,car jusqu’à la salle des fetes Il avait 3km à faire à pied! Lorsque je suis arrivée j’ai rencontrée bien des filles et garçons avec lesquels je travaillais à l’usine et tous on était excités ! Enfin le spectacle à commençé et nous étions tous pris dans le bain ,sans penser à rien d’autre! Puis le temps s’est écoulé et j’avais promis à ma mere d’etre rentrée pour 23h au plus tard ,car comme le lendemain je travaillais …!et pourtant meme d’autres filles avec lesquelles je travaillais m’ont dit hey il est deja 23h et tu habites loin tu ne retournes pas chez toi ?! Je n’ai meme pas fait pas fait attention ! et Lorsque la memoire m’est revenue j’ai demandée l’heure et quelqun ‘m’ a dit 23h30 Et la j’ai réagi on me disant Oh la La ma mere va encore me faire tout un plat pour rien et de toute façon elle sera deja couchée ,et tant bien que mal j’ai ‘accélerée mess pas car j’avais 3km à faire à pied et lorsque je suis arrivée à la maison j’ai vue l’heure au carillon de la cuisine ,et Il était 0h30!! j’ouvre la porte et rentre et à ma grande surpise ma mere était assise à la table encore avec sa blouse en nylon sur elle et me dit ” Tu as vue l’heure ” les sorties c’est fini pour toi !” puis elle me dit tu te mets en pyjama et tu reviens ici ,c’est ce que j’ai fait et je ne m’attendias pas du tout à ce qui allait suivre ,de nouveau dans la cuisine et en pyjama je vois le Martinet de la maison sur la table et ma mere me dit allez penche toi audessus de la chaise ,ce que j’ai fait en pensant ce n’est pas qu’elle va me donner du Martinet ,car ça fait plus d’un an qu’elle m’en donne plus ?! Mais j’avais tout faux car aussi sec ma mere tira sur mon pantalon de pyjama jusqu’à parterre et commença la pus belle fessée au Martinet de ma vie plus de 20coups bien appuyés ! bref une fois finie ma fessée au Martinet j’avais mon derriere completement engourdi et tout rouge et avec la douleur je me suis mise à pleurer ce qui a fait réagir ma mere en disant tais toi et garde tes larmes de crocodile Non mais qu’est ce que tu croyais ,que ça allait se passer comme a ,pas avec moi ,car tant que tu sera ici si tu merites une fessée au Martinet tu l’auras rien ne pourra te sauver ! ensiute elle me dit allez va te coucher , Et le lendemain quand je me suis levée j’ai déjeunée et mise ma blouse en nylon por aller travailler san demander mon reste ! puis au soir lorsque je suis rentrée à la maisonma mere était la et dsans ses mains une de ses blouse en nylon mais longues et larges bref elle était trop longue et trop large pour moi ! et me dit à partir de maintenant tu n’ay=ras plus de blouse à ton gout tu mettra celles que je te dirai d mettre et de toute façon à part d’aller à ton travail et d’etre ici à la maison ça suffit amplement et à partir de ce jour la ettant que j’ai restée chez mes parents je devaismettre que les blouse en nylo que ma mere me donnait ! Bon aprés les choses se sont un peu tassées mais je memefiais de ma mere cae elle m’avais promisede nouvelles fessées avec le Martinet !
LORSQ ON DONNE SA PAROLE ON LA TIENT !
A l’époque je vivais encore chez mes parnets et ne me souçiait guere ! et comme c’était au village avec trés peu d’évenements , ce jour la Il y avait un groupe anglais connu que s’y produisait ! Je me suis dit WOW Il faut que j’y aille et aprés discutée longuement avec ma mere qui deja ‘(y tenait pas trop à ce que j’y aille
Al’époque c’était comme ça que ça nous plaise ou non!et moi en particulier ma mere me faisait mettre des blouses en nylon boutonées sur le coté sans compter que sous mes blouses en nylon je devais mettre mes larges Bretelles à 4 grandes pinçes, et pour completer un beret sur ma tete, pour cacher ma tete toujours bien rasée par ma mere à la tondeuse électrique que ça me plaise ou non et il y avait le Martinet avec ses lanieres en cuir qui nous çinglaient nos fesses et qui faisait mal! et jusqu’à mes 16 ans c’était comme ça ,Nos meres à cette époque nous laissaient rien passer! et que ce soitdans ma rue ou à l’école npous étions tous garçons ou filles obligés de porter tout cela sur nous et de se faire fesser au Martinrt m par nos meres !