14.12.2007
Il bacio di Alice
En attendant le chaos, il y a la vie.
La mienne, je l’ai toujours voulue joyeuse et quand elle ne l’a plus été, je me suis battue pour la changer.
Les nuages s’amoncellent et le fascisme rampe en bavant sur les futures ruines du néo-libéralisme. La résistance s’impose mais elle n’est pas pour moi synonyme de tristesse.
On peut aussi se battre en s’amusant.
En créant.
« Mon travail dans la banque… me dit Antonio en soupirant… bé, je le fais passer avec tout ça ! »
18:35 Publié dans En Italie | Lien permanent | Commentaires (1) | Envoyer cette note
Commentaires
Et avec ça qu'est ce que j'vous met ???
Bienvenue dans sarkoland, vous pensiez peut-être que le gaudillo allait faire dans la dentelle ?
Ecrit par : manu | 19.12.2007
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