25.09.2008
Vieillir
Parfois d’un poème il ne reste qu’un vers. On a oublié les autres mais celui-ci s’est accroché à la mémoire.
Il surgit à l’improviste, s’installe dans les pensées. Coupé de son contexte il prend le sens qu’on lui attribue, devient l’écho de préoccupations, de tourments ou de joies intimes.
« La chair est triste, hélas! Et j’ai lu tous les livres. » m’a longtemps taraudée...Lire la suite
09:20 Publié dans Au jour le jour | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : souvenirs, vieillesse
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